Résumé :

Rien ne destinait Armand et Rosine à se rencontrer. Lui, aisé, mais accablé par la soixantaine passive et fade. Elle, dans la vingtaine, née avec les mauvaises cartes entre les mains ; cruellement déchiquetée par les griffes de la vie ; à l’enfance souillée au plus profond de son intimité. Mais si tout les opposait, et sans lien dans la vie réelle, la fatalité, que nul ne maîtrise, va établir entre eux, par écran interposé et par la magie de l’intelligence artificielle, un cordon intuitif. Ainsi, Armand devient le confident intime de Rosine : fragile petite fée aux pieds d’argile, que le sort transforma en femme-enfant au dessein inflexible de vengeance, au désir de « crimes parfaits et de vouloir tuer ». Une histoire de notre époque entre réel et virtuel, inoubliable, diabolique, avec la promesse de ne jamais trahir. Qui pourrait y rester insensible ? Personne n’oubliera cette Douce fée désynchronisée du présent, à la vie saccagée dès l’enfance, en quête de justice et de renaissance.

Résumé :

Parfois, une histoire peut en cacher une autre…

Pour trouver une paix intérieure, Georges a renoncé à tout, mais la voix de l’enfant veille toujours en lui. Alors, aujourd’hui, dans sa tanière au sobre décor, aux livres fatigués, à la fenêtre fermée au hasard, loin des modes puériles, il aimerait tellement dire ses erreurs de trajectoire, ses conflits internes, ses reniements, sa honte… Mais au-delà des larmes, des rires, des faux-semblants, des rêves et des coïncidences, osera-t-il se mettre à découvert ?

Car si le masque de l’ermite de Saint-Racho venait à tomber, personne ne saurait rester insensible à son histoire…

L’auteur nous livre sans tabou un récit bouleversant de sincérité, baigné de pulsions et de passions aux effets dévastateurs. Au travers du miroir du temps présent, il nous fait plonger dans les failles de la condition humaine...

Ce livre, qui fait suite à « « C’est vrai Papi que t’es presque vieux ? », peut se lire indépendamment du premier tome de « L’histoire de Méline Lepré ».

Résumé :

Enfant espiègle de quatre ans, Méline jouait avec son papi à un jeu des sept familles. Elle lui demanda en déposant la carte du grand-père sur la table :

— C’est vrai papi que t’es presque vieux ?

Interloqué, il leva les yeux de son jeu de cartes, son regard ardent la fixa : il ouvrit la bouche, mais aucun mot n’en sortit... Enfin, il questionna Méline sur ces quelques mots qui le renvoyaient dans son passé, et vers sa peur chronique du temps qui fuit.

— Mais, ma Petite Chérie, qui t’a raconté ça ?

— Maman l’a dit hier soir quand j’ai demandé pourquoi tes cheveux étaient blancs comme ceux du père Noël.

Aujourd’hui Méline a vingt-quatre ans. Pourquoi cette scène, telle une ombre vacillante, ressurgit-elle de sa mémoire telle la boîte de Pandore qui s’ouvre ? Cette ombre, peut-être est-ce celle de son grand-père, mystérieusement disparu vingt ans plus tôt dans un glacier des Écrins, et dont la dépouille jamais ne fut retrouvée...

Bien qu’une enfant de quatre ans ne puisse être responsable de quoi que ce soit dans les affaires des adultes, le passé de ceux qui nous entourent ne tourne jamais la page. Sans pardon, que ce soit au milieu des rires ou des pleurs, celui-ci jouera toujours avec nous à cache-cache...

Résumé :

À 36 ans, dans une existence sans heurts majeurs, je découvrais la vraie détresse, celle qui étreint jusqu’à l’intolérable, qui transforme le présent en affreux tourment.

- Ce soir-là, je reçus sur mon mobile un appel de mon père :

– En urgence, il faut que je passe chez toi. C’est au sujet de maman. C’est grave !

Au ton de sa voix, voilée, qui semblait masquer une vive émotion et un état de panique, je compris la gravité de la situation. Ainsi s’ouvrit soudainement le gouffre profond vers lequel des évènements imprévisibles allaient m’attirer.

- Mais comment peut-on définir cet instant où frappe sans discernement la fatalité, et où le bon sens dévisse ? Comment peut-on qualifier l’impardonnable bêtise humaine, l’absurdité et la perversité de la vie.

La force du mal ressortirait-elle toujours victorieuse ?

- Ouvrez les pages de Rousse Julie, laissez-vous embarquer par l’intrigue de toute une vie, et vous saurez…

Résumé :

Malgré notre voisinage, il y avait peu de probabilité pour que nous fassions connaissance. Aucun indice visible qui aurait pu m’indiquer qu’un lien entre nos deux vies, distantes de plusieurs générations, s’établirait, et que nos histoires personnelles se connecteraient et se confondraient. Mais à quoi se résume une destinée ? Au retour du printemps, à une déprime passagère, à un livre que l’on referme, à l’image attendrissante d’une humble vieille femme sur un banc…

Le réel est faiseur de romances et de songes, qui parfois s’imposent et se transposent à notre existence… alors, tout ressurgit, en quelques heures d’une nuit blanche.

Résumé :

Maintenant qu’Évelyne sait que son organisme est à bout de résistance, que ses sens qu’elle avait dressés en sentinelle s’avouent vaincus, que la médecine n’est plus une alliée, elle prend conscience qu’elle a terriblement peur de cette « dame noire » qui chaque instant rôde à l’intérieur de son être.

Bientôt, cette trouille incontrôlable déréglera le métronome, il perdra le la et le rythme de son cœur se gèlera.

Alors, dans son lit, immobilisée, elle pense qu’il est dorénavant urgent qu’elle écrive le testament de son existence, afin de libérer son âme d’un secret de jeunesse.

Tout a commencé avec un mot sur le pare-brise...

Résumé :

Comme chaque fin de week-end, il y a beaucoup de monde dans le train. La seule place disponible se trouve troisième banquette sur la rangée de gauche, à côté d’une jeune femme, chevelure châtain clair, ciel azur dans le regard, attitude impassible, qui témoigne d’une indifférence profonde au bruit environnant. Sa tête inclinée repose sur la vitre. Elle admire le paysage qui défile et ses pensées filent au rythme du train.

C'est ainsi que Christian fait la connaissance de Clarisse.

Est-ce le destin qui met sur sa route cette jeune femme alors qu'il sort tout juste d'une rupture amoureuse qui l'a fragilisé ?

... Ou est-ce sa bonne étoile ?